L’Espagne, comme la France, est caractérisé par la présence d’un antisémitisme séculaire d’origine chrétienne, encore bien ancré, jusque dans les courants de la gauche raidcale. Ainsi, encore récemment, de nombreuses organisations, de Podemos à la CGT E, ont soutenu la publication de caricatures antisémites en reprenant le thème éculé de la « liberté d’expression », comme en témoigne notamment un article récent de mondialisme.org. Ces caricatures montraient notamment un soldat israélien maltraitant Jésus, thème classique des Jui.ves.fs « assassins de prophètes » que nous dénoncions récemment et reprenaient le stéréotype des juives et juifs au nez crochu. L’utilisation de la formule de « lobby juif » par des organisations comme la CGT Espagnole pour qualifier les organisations dénonçant cet antisémitisme attire particulièrement notre attention. Ce type de formulations n’est pas anodin et ne peut pas passer inapercu. C’est cette perméabilité qui, en France, a notamment ouvert la voie aux développement d’un mouvement antisémite de masse dont Dieudonné et Alain Soral sont les représentants les plus visibles. En France comme en Espagne, l’antisémitisme est un poison contre lequel le mouvement révolutionnaire doit se vacciner.
Luttons contre l’antisémitisme, d’où qu’il vienne !